Promenades sous une allée de marronniers, amours à l’ombre d’un grand chêne, itinéraires artistiques dans une ville baignée de lumière, différentes manières de regarder le sensible qui font que l’œuvre de Stendhal échappe vite à son auteur et à son temps. Quel est le rapport de Stendhal au Beau ? Comment construit-il ce rapport ? C’est l’œil qui, spontanément, opère cette synthèse et c’est la sensibilité naturelle de sa plume qui cerne les contours. Il s’agit bien d’un regard qui marche de concert avec l’affect. Ce volume contribue à relire Henri Beyle, à voir comment, à l’aide de procédés discrets, il obtient l’expérience de la nature et des arts. Avec la participation de Claude Benoit, Juan Bravo Castilla, Marie-Françoise Borot, Françoise Chenet, Béatrice Didier, Suzel Esquier, M. Carme Giguerola, Maria Teresa Lozano Sampedro, Javier del Prado Biezma, Martine Reid, Angels Santa.