Prix de la Critique de l'Académie française.
« Comme il y va ! Quel punch ! Quel cogneur ! Et vlan sur l’un, et bing sur l’autre ! À côté de ce pourfendeur, le plus pugnace de nos hommes politiques n’est qu’un blême chicaneur. » (Jacques Cellard, Le Monde, 15 décembre 1976.) « Pommier règle leur compte aux nouveaux Trissotin et aux nouvelles Précieuses : salubre à vous, cher confrère ! » (Jean Clémentin, Le Canard enchaîné, 17 décembre 1978.) « Le pamphlet féroce et joyeux que M. René Pommier vient de lancer à l’assaut de la pédanterie contemporaine n’est certes pas pour plaire. [...] Je gage qu’il donnera à nombre de lecteurs, par l’allègre fureur de son jeu de massacre, une certaine satisfaction vengeresse. » (Thierry Maulnier, de l’Académie française, Le Figaro, 18 décembre 1978.) « Sous ce titre farceur, l’auteur nous donne une très sérieuse étude sur quelques travaux universitaires dans le vent. [...] René Pommier a glané dans des revues spécalisées un certain nombre de divagations critiques qui sont d’un comique irrésistible. » (Jacques Brenner, Lire, février 1979.) « Ce livre renoue avec un genre en voie de disparition : celui de la salubre polémique littéraire où l’on appelle un chat un chat, et Rolet, un fripon. [...] Le terrorisme intellectuel atteint un tel degré, que le livre de René Pommier prend l’allure d’un acte héroïque. » (Ricardo Paseyro, L’Aurore, 12 mars 1979.)